KIMAGURE ORANGE ROAD

DVD 08 Episodes 35-39

 

Version 1.0 (mars 2010) de l'adaptation des liner notes d'Animeigo (DVD 9 et 10) pour la version VOSTF de Déclic Images par Tcv

Episode 35 – Photos érotiques ! Kyosuke le robot ! (1ère diffusion au Japon : 30 novembre 1987)

01:25 [Komatsu] "Ces jolies filles sont des mannequins professionnels !"
01:31 [Komatsu] "Les sous-vêtements envoûtants de ces mannequins..."
Un « Companion » (ou plus exactement « Event Companion ») se réfère à un mannequin qui montre ou pose simplement avec un produit dans une exposition commerciale (i.e. salon de l'automobile, de l'électronique, etc).
Avant que le script ne soit finalisé, les répliques suivantes ont été proposées au départ :
[Komatsu] "Ainsi elles font innocemment leur travail, quand tout le monde est en train de les observer, et que toutes les objectifs pointent sur elles. Oh, les « Companions », toujours souriantes... Et, combien je désire vo... en dessous de ces voiles de mystère... Je... Je..."
Ah, quel lyrisme !

01:36 [Komatsu] "C'est pas génial, ça ?"
01:38 [Komatsu] "J'en peux plus !"
La phrase « Eejanaika ! Eejanaika ! » (N'est-ce pas génial ?!) est non seulement une expression comique - basé sur le fait que c'est partiellement un dialecte du Kansai-ben (sud-ouest du Japon) qui sonne amusant en soi pour ceux qui vivent au Kantoo (nord-est du Japon), i.e. Tokyo - c'est aussi une référence à un événement important de l'histoire du Japon.
A la fin de 1860, des paysans participèrent à des révoltes connues comme « Yonaoshi Ikki » afin de réformer la société, réclamant un « renouveau mondial », critiquant le gouvernement du shogunat et, dans plusieurs régions, également les riches. Le mouvement « Eejanaika » de 1867 a continué dans plusieurs parties de la nation sur plus d'un an. Des villageois excités furent vus dansant dans les rues en masse, criant « Eejanaika ! ». C'est exactement ainsi que débutèrent plusieurs contes.

01:41 [Komatsu] "C'est un don du ciel !"
L'expression « Konnyaku rakkyou » est utilisée comme un simple effet comique , et ne veut absolument rien dire ici. On voit que l'excitation fait dire à Komatsu n'importe quoi !

05:01 [Manami] "Qu'est-ce que tu racontes  Et si une personne mal intentionnée l'utilisait ?"
05:07 [Komatsu] "J'ai l'impression que ma conscience m'a dit quelque chose."
On peut souvent voir dans les séries animées, un personnage en train d'éternuer pendant qu'un autre personnage parle dans son dos. Ceci vient d'une croyance commune, qui est actuellement basée sur des histoires un peu bizarres - les oeuvres littéraires archaïques décrivent parfois ce genre de choses sous-entendues, lors des occasions où un personnage particulier éternue !

07:52 [Hatta] "D'où venez-vous ?"
07:55 [Policier] "De Fukushima."
07:56 [Policier] "Qu'est-ce que c'est ?"
Le script décrit ce personnage comme « un policier avec un peu d'accent campagnard ».
Une partie de l'humour dans cette scène est dans l'accent du policier, qui est très rare et se remarque dans Tokyo - inutile de dire que c'est amusant d'en abuser. Animeigo avait retranscrit cela en déformant sciemment les traductions des répliques du policier !

08:00 [Policier] "Vous êtes pris la main dans le sac !"
08:04 [Komatsu] "On est mal !"
Familièrement, « Shitakiri-suzume » se refère à quelqu'un qui ne peut pas dire ce qu'il a en tête, même en cachant les choses ou non.
Pour ceux que cela intéresse, c'est une référence à une fable. « Shitakiri-suzume » (Moineau sans langue) est l'histoire d'un moineau qui fit une visite inattendue un jour dans la maison d'un vieux couple, léchant une assiette pleine d'amidon pour la lessive. La méchante femme captura le moineau et comme punition, coupa sa langue. Le mari au coeur tendre alla trouver le moineau, pour être sûr qu'il aille bien. Le moineau le remercia en le laissant ramener chez lui un des coffres qu'il gardait. L'homme choisit le plus petit - qui en fait contenait de l'or. Voyant ceci, la femme rendit visite au moineau, ramena chez elle le plus gros coffre - seulement pour être recompensée par des serpents et des mille-pattes enfermés dedans.

11:07 [Kurumi] "C'est affreux, si une chose pareille se produisait..."
11:11 [Kurumi] "On doit la devancer."
Ce qui est sous-entendu ici est que Kurumi pense qu'elle est dans une course à la perte de virginité d'Hikaru. Ce thème apparaît souvent dans plusieurs séries pour adolescents.

12:04 [Kurumi] "Oui, tu as raison ! On doit les arrêter ! Allez !"
Plus précisément, Kurumi fait un geste et s'écrie « Schwattch ! », en référence à « Ultraman », une des plus célèbres séries classiques japonaises en live de science-fiction (« tokusatsu »). L'expression est ce qu'Ultraman « dit » (techniquement, mais sa bouche ne bouge pas) quand il se transforme de sa forme humaine à celle d'un géant de plus de 60 mètres de haut pour lutter contre des monstres extraterrestres.
Cette série a été originellement créée dans les années 60 par Eiji Tsuburaya, qui était responsable des effets spéciaux pour les premiers films de monstres de la Toho comme « Godzilla ». M. Tsuburaya en vint à fonder sa propre compagnie, les Productions Tsuburaya, qui réalisèrent d'innombrables Ultraman et autres films de monstres.

11:19 [Hikaru] "Ding ! Tu entends ?"
11:22 [Hikaru] "C'est le son de ma joie !"
En japonais, il y a une onomatopée pour presque tout, et celui-ci ne fait pas exception.

Episode 36 – Adieu Kyosuke ! Les pouvoirs sur pellicule ! (1ère diffusion au Japon : 7 décembre 1987)

01:06 [Komatsu] "Coupez !"
Komatsu, ici réalisateur, porte une casquette comme le célèbre Akira Kurosawa. Hatta tient une caméra de marque « Tony », en référence à une célèbre marque japonaise de l'électronique grand public.

01:18 [Komatsu] "Notre film «La flic des délinquantes» fera un tabac au concours inter lycées."
Ce film fait référence à « Sukeban deka » (détective délinquante), une série japonaise mettant en scène une femme policier infiltrant une bande de délinquantes.

02:51 [Komatsu] "Qu'est-ce que vous racontez ?"
02:54 [Komatsu] "Cela fait partie intégrante de la situation dans laquelle évolue le film !"
02:57 [Komatsu] "Cela montre l'identité des délinquantes dans un cadre sentimentaliste !"
03:01 [Komatsu] "Recréer cette hésitation du moment fait partie de la mouvance underground !"
03:06 [Komatsu] "Tout l'enjeu économique de ce genre de... !"
Tout ce que Komatsu dit ici est presque du non-sens, s'appuyant sur des « grands mots » qu'il ne doit pas comprendre complétement !

03:48 [Komatsu] "T'as vu ce que j'ai vu ?"
03:50 [Hatta] "Toi aussi ?"
03:53 [Hatta] "Ça signifie que..."
03:55 [Hatta] "Un miracle !"
03:58 [Hatta] "Tu ne crois pas ?"
04:00 [Hatta] "De la magie ! ?"
La phrase japonaise utilisée ici est « kamigakushi » (de « kami » - dieu et « kakusu » - garder secret), qui se réfère aux disparitions spontanées qu'on croit être dues aux forces divines. La plupart des gnes peuvent lire des « kamigakushi » dans les contes de fées -comme les enlèvements par des « tengu » (créatures ailées, avec un long nez).

04:28 [Komatsu] "Ta disparition, c'était de la téléportation, n'est-ce pas ?"
04:32 [Komatsu] "Ils en ont parlé à la télévision."
04:32 [Hatta] "Moi aussi, je l'ai vue !"
04:34 [Hatta] "C'est comme dans ma sorcière bien-aimée !"
« ESPer Mimi » (« ESPer » = Personne aux Pouvoirs Extra-Sensoriels) est une référence à un manga populaire nommé « ESPer Mami » (connu en France sous le nom de « Malicieuse Kiki »), qui a débuté au milieu des années 70. La version TV animée a été diffusée à peu près en même temps que KOR, et le film est sorti au printemps 88. Sans surprise, ce dernier était distribué par la Toho. « Teleportation » était aussi le titre du générique de début de la série !

04:38 [Komatsu] "Idiot ! Compare plutôt ça à Phil & compagnie !"
04:42 [Kyôsuke] "Mais je n'ai pas..."
La blague ici est que Komatsu parle d'une série TV fictive, « Orenchi Kimagure Dooro » (Mon endroit est la Route Capricieuse), dont le titre est un jeu de mots composé autour de « Orenji Roodo » (la romanisation de « Orange Road »). « Dooro » est un mot japonais pour « route » (le « roodo » ci-dessus) et « orenchi » est une forme informelle et masculine pour dire « Mon endroit ».
Déclic Images a traduit ceci en parodiant le titre français « Max & Compagnie ».

08:31 [Manami] "En fait, il est aussi discret qu'un caméléon."
08:35 [Manami] "Alors, il donne l'impression de disparaît tout le temps."
08:39 [Komatsu] "Manami, quelque chose ne va pas ?"
08:43 [Manami] "En ce moment, j'ai quelques tics nerveux."
Dans la VO, la blague repose sur l'usage d'homonymes car « tako » peut signifier d'une part « cerf-volant » (Manami compare son frère à un cerf-volant sans fil, donc libre de disparaître au gré du vent), alors que son homonyme peut signifier « pieuvre ».
En effet, dans les bandes dessinées japonaises, une pieuvre est toujours dépeinte en train de faire la moue - ceci car son siphon ressemble à la moue des lèvres, d'où la remarque de Komatsu qui trouve cela insolite.

10:49 [Yûsaku] "Non !"
10:52 [Komatsu] "Qu'est-ce que..."
A la toute fin de la 1ère partie de l'épisode 36, les dialogues suivants ont été retirés de la version finale :
La scène : toutes les lumières se sont éteintes. Tout le monde panique.
[Hatta] "Allumez l'éclairage de secours ! Les lumières !"
[Kurumi & Manami] (cris) "Pervers !"
[Hatta] "Hé, Komatsu ! Ce sont mes fesses !"

15:20 [Hikaru] "Je suis Sachy Asayami, élève de 3ème année à l'école de police !"
15:24 [Hikaru] "On m'appelle la flic des délinquantes !"
15:28 [Hikaru] "Si mon insigne ne vous fait pas peur, alors venez vous battre !"
C'est une parodie d'une scène de « Sukeban deka » (voir note précédente), qui a été diffusée au Japon au milieu des années 80. Grâce à sa popularité, la série eut deux suites ainsi qu'un film. « Sachy Asamiya » est une déformation de « Saki Asamiya », l'héroïne principale de la première série des Sukeban.

17:07 [Manami] "Je ne parlais pas de ce lit, mais de ceux qui sont à l'infirmerie !"
En japonais, aussi bien un matelas (« mattoresu ») qu'un tapis de gym (« matto »), peuvent être désignés par « matto », d'où la confusion de Kurumi.

17:17 [Hatta] "Attendez un peu !"
L'expression japonaise exacte est « Chotto mattottene », qui est une manière très informelle de dire « Je serai là dans une seconde ». L'expression est délibérement choisie en écho au mot « matto » utilisé par les jumelles.

20:24 [Komatsu] "Fais en sorte que ça marche ! Idiot !"
20:27 [Hatta] "Mais puisque je te dis qu'elle ne veut pas sortir. J'y peux rien !"
En japonais, « idiot » se dit « baka ». Mais ici « Hatta » est aussi un homonyme pour dire « coincé » ou « collé ».

Episode 37 – Héroïsme légendaire ! Madoka et la confrontation dans la neige. (1ère diffusion au Japon : 14 décembre 1987)
L'expression japonaise utilisée dans le titre, « Ninkyooden », se réfère à ces histoires où le héros sauve les faibles et innocentes victimes en battant les puissants agresseurs - un thème commun dans les films de samourais ou de yakuzas !

00:18 [Kyôsuke] "Ayukawa !"
00:24 [Kyôsuke] "Laisse-moi venir avec toi !"
00:27 [Madoka] "Non, il ne vaut mieux pas. C'est un combat de femme à femme."
La scène est une parodie d'un médiocre film de samourais (c'est à dire du genre de ceux que ni AnimEigo, ni Déclic Images n'éditent). Le discours, les manières, la musique et les décors sont tous trop typiques.

02:17 [A-ko] "Qu'est-ce que vous attendez ?"
02:19 [A-ko] "Vous avez trouvé Oryu ?"
« Oryû » est un vieux nom commun pour les femmes qui apparaissent souvent dans les films de samourais. Dans le script, « Oryû » est écrit avec le kanji du « dragon ». « O- » est un préfixe typique et archaïque pour les noms féminins.

05:11 [Hatta] "Et toi, t'étais pas en train d'essayer d'apitoyer Manami !"
05:13 [Hatta] "T'as vraiment aucune pitié, toi !"
05:13 [Komatsu] "Tu peux parler."
05:16 [Komatsu] "Va t'acheter de la pitié !"
05:16 [Hatta] "C'est ce que j'allais te dire !"
Cette séquence repose en japonais sur un jeu de mots - « doojoo » signifie « sympathie », « pitié », etc., alors que « dojoo » se refère à un petit poisson ressemblant à une anguille (appelé une « loche » en français).

05:39 [Hatta] "Personne ne..."
05:39 [Komatsu] "s'intéresse à nous."
Dans la VO, Komatsu se compare à un « minomushi », c'est la larve du Thyridopteryx Ephemeraeformis, une espèce de mite qui cause de gros dégâts aux arbres. Durant son stade larvaire, elle forme son propre cocon en utilisant des morceaux de plantes et de la soie. Le sac tubulaire grandit en même temps que la larve.

09:22 [Yûsaku] "J'ai entendu dire qu'Oryu s'était fait attraper !"
On lit sur le bandeau de Yûsaku « Hisshou » ou « Victoire ».

11:53 [Policier] "Elles sont dans l'usine près du parc ! Dépêchons-nous !"
11:56 [Umao] "Ushiko, pourquoi est-tu Ushiko ?"
12:00 [Ushiko] "Et toi, pourquoi est-tu Umao ?"
Notez qu'Umao joue le rôle de la femme, tandis qu'Ushiko joue son amoureux !

12:49 [A-ko] "La reine de la baston n'est plus ce qu'elle était !"
Le vrai surnom d'Oryû qu'on entend en japonais est « Kendama Oryû ». Le « Kendama » est le jouet d'enfant en bois qu'on voit ici. C'est un bilboquet qui possède une boule (avec un trou dedans) reliée avec une ficelle à un manche en bois avec deux coupelles et un bout pointu à son extremité - l'objectif est de mettre la boule dans les coupelles ou sur la pointe. Les joueurs expérimentés peuvent le faire très rapidement, à plusieurs reprises.
C'est un lieu commun que les filles « Sukeban » ont toutes leurs armes spéciales de prédilection. A-ko utilise une planche à roulettes (« skateboard »), Madoka lance des médiators de guitare, dans un prochain épisode, une Sukeban trapue utilisera des boules de bowling !

Episode 38 – Kyosuke remonte le temps ! Le troisième Noël. (1ère diffusion au Japon : 21 décembre 1987)

01:57 [Komatsu] "Hé, Kurumi ! Des gâteaux recouverts de fraises ! Des canapés à profusion !"
02:01 [Komatsu] "Des brochettes de poulet ! Et tout ça à volonté !"
Sur les canapés, il y a des « ikura », des oeufs de saumon, un peu comme du caviar !

03:36 [Madoka] "j'ai déjà accepté l'invitation de mes soeurs"
Madoka n'a qu'une seule soeur ! Il s'agit en plus de sa soeur ainée (« nee-san »).

06:33 [Komatsu] "Bien joué, play-boy !"
06:37 [Kazuya] "J'avais trop de prétendantes, je ne savais plus laquelle choisir."
La romanisation de « Playboy » est « Pureibooi », et le mot japonais pour « garçon » est « booya », ainsi « Pureibooya » est un jeu de mots.

Episode 39 – Madoka hypnotisée ! Dangereux nouvel an pour Kyosuke. (1ère diffusion au Japon : 28 décembre 1987)

00:46 [Kyôsuke] "La faim m'avait réveillé."
00:50 [Kyôsuke] "Je n'ai fait aucun rêve pour mon premier jour de l'année."
La tradition au Japon veut que le contenu du « hatsuyume », le rêve juste avant de se lever le jour de l'An, détermine comment est le reste de l'année.

01:30 [Madoka] "Cela vous convient ou..."
01:32 [Madoka] "préféreriez-vous autre chose ?"
01:39 [Madoka] "Dites-moi ce que vous voulez, maître."
Ecoutez bien la VO et vous entendrez Madoka proposer d'abord du « Ozouni » (une soupe claire avec du « mochi », ou gâteau de riz dedans) puis du « Otoso » (une boisson composée de saké et d'herbes médicinales chinoises, supposées prévenir toute maladie pour le reste de l'année). Ces spécialités sont traditionnellement servies durant la semaine du Nouvel An.

04:00 [Kyôsuke] "L'argent des grands-parents est intéressant,"
04:02 [Kyôsuke] "mais, Ayukawa en lapin, c'est pas mal non plus."
Le jour de l'An, les adultes donne les « Otoshidama » aux enfants - ce sont des cadeaux en espèces mises dans des enveloppes spéciales.

08:47 [Kyôsuke] "Ça a l'air délicieux ! J'adore ce genre de repas !"
Les nouilles « Soba » sont des nouilles très fines au sarrasin qui sont presque toujours consommées en les trempant dans une coupelle de sauce.

09:27 [Madoka] "C'est la première fois..."
09:29 [Kyôsuke] "Hein ?"
09:30 [Madoka] "que je mange des nouilles avec quelqu'un pour le nouvel an."
Les nouilles « Soba » servies la nuit du jour de l'An sont appelées « Toshikoshi » (littéralement « Traverser l'année »). Du fait que les « soba » sont longs, ils symbolisent la longévité. Consommer les « toshikoshi soba » est un rite traditionnel pour souhaiter longévité et bonne santé.

13:50 [Komatsu] "Mesdemoiselles, ça vous dirait de venir sonner les cloches avec nous."
13:53 [Hatta] "On vous sonnera les cloches !"
Le « Kanetsuki » (littéralement « Sonner les cloches ») est juste une des cérémonies de la nuit du Nouvel An, qui sont célébrées dans les autels bouddhistes et les temples.
Le « tsuki » dans « kanetsuki » vient du verbe « tsuku » qui signifie « toucher », « frapper », etc., comme pour sonner une cloche avec un marteau. Un homonyme de « tsuku » signifie « coller », « unir », etc. - La remarque ici de Hatta sous-entend qu'il veut être plus intime avec les filles. En japonais, nous avons ici une allitération, qui aboutit à cette remarque coquine.

Annonce de l'épisode suivant
21:51 [Kyôsuke] "Je suis très actif."
Il existe une autre version de cette annonce de l'épisode 40 dans l'édition d'AnimEigo mais aussi de Jonu. Elle se termine ainsi :
[Narrator] "T.A.P. Gun ! Soyez témoin d'un miracle, en écoutant ces chants !"
[Ecran] "Ouverture finale aujourd'hui dans les salles de la Toho dans tout le pays ! Vente rapide par la Toho de tickets à l'avance !"
Ce type d'écran est exactement celui qu'utilise la Toho dans ses bandes-annonces pour leurs théâtres, et le narrateur est l'annonceur habituel de la Toho !

A la différence du premier coffret (DVD Déclic Images 1 à 5), on n'a plus le choix d'affichage des paroles des génériques transcrits en rômaji, seule la traduction en français est disponible. Pour « Kagami no Naka no Actress » et « Dance in the Memories », vous pourrez trouver une autre traduction et les paroles en rômaji dans le livret des chansons du coffret DVD des OAV édité par Kaze.

Générique de début des épisodes 36 à 48 : Kagami no Naka no Actress « Actrice dans un miroir »
Paroles et musiques : Meiko Nakahara
Arrangements : Akira Nishidaira
Interprété par Meiko Nakahara (avec l'accord de Toshiba EMI)

Générique de fin des épisodes 36 à 48 : Dance in the Memories « Danse dans les souvenirs »
Paroles et musiques : Meiko Nakahara
Arrangements : Akira Nishidaira
Interprété par Meiko Nakahara (avec l'accord de Toshiba EMI)

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